Quinze minutes

Comme ça fait du bien de lire un bon bouquin ! Mes précédentes lectures m'avaient laissé perplexe, et déçu. La vitesse de l’obscurité d'Elizabeth Moon n'est pas tellement mon type de roman, même si au bout du compte le récit est bien ficelé, il lui manque une touche de punch, quelque chose qui fait qu'on a vraiment envie de connaître la suite. Avec le tome 2 des aventures de Greg Mandel, de Peter F. Hamilton, on frôle le ratage. C'est mou, pas intéressant, caricatural. Ça ne fonctionne pas vraiment.

Heureusement, Charles Dickinson a écrit Quinze minutes. C'est son seul roman traduit en français à l'heure actuelle, et si les autres sont aussi bons, c'est bien dommage ! Je pourrai en faire des tonnes, avec mes mots à moi, pour vous encourager à lire ce roman passionnant. Néanmoins, je préfère vous renvoyer vers la critique du Cafard Cosmique à la quelle j'adhère totalement. C'est vraiment un bon roman, très agréable à lire et qui tient le lecteur jusqu'à la dernière page.

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2 comments

  1. Cela faisait un bail que je n'étais pas passée par ici, heureuse de voir que le lieu est toujours habité !
    Tu as toujours été de bon conseil question bouquins, ce titre rejoint donc la bien trop petite liste des lectures à venir.
    Je découvre que tu as entamé récemment le trilogie 1Q84, je suis bien curieuse d'apprendre ce que tu en auras pensé et comment tu auras vécu cette lecture. Lire un Murakami est chaque fois, pour moi, une expérience éprouvante et passionnante. Malgré mes besoins/habitudes de dévoreuse de livres, il me faut un temps fou pour me connecter à l'histoire, à l'univers et me réadapter au style... mais il y a un je ne sais quoi d'hypnotique et addictif qui m'y fait revenir régulièrement.
    Bonne(s) lecture(s) et merci encore !

  2. Salut Julie, c'est un vrai plaisir de te voir passer ici :)
    Merci pour le compliment sur mes conseils de lecture. Je te dirai ce que je pense de 1Q84 quand j'aurai achevé le premier tome. Je l'ai tout juste entamé, donc ce n'est pas pour demain.
    Si tu aimes Murakami, mais que tu as du mal à rentrer dedans, essaye Yoko Ogawa. Je trouve que c'est le pendant féminin de Murakami. Les thèmes sont proche, le fantastique est là aussi, mais plus subtil, plus féminin.

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